L'amour sorcier 2008 l'Opéra de Nice
chorégraphes Jean-Gérald Dorseuil et Nathanël Marie
Direction artistique et Argument Jean-Charles Gil
Styliste Maria Romera
Soliste Patricia Fernandez
Direction musicale Sergio Monterisi
Orchestre Philharmonique de Nice
Ballet de l'Opera de Nice
Le Corps de ballet de l’Opéra de Nice a donné hier soir une magnifique démonstration sur le fait qu’un auteur pouvait inspirer des interprétations très différentes aux chorégraphes. Pour cette première manifestation, l’Etablissement lyrique de la rue Saint-François-de-Paule avait choisi deux pièces - à l’origine deux pantomimes - du compositeur espagnol Manuel de Falla : « Le Tricorne » et « L’amour sorcier », deux ballets écrits lors de son retour en terre madrilène après sept années parisiennes où il fréquenta Debussy, Dukas ou Ravel.
Jamaal Le Var Phinazee (le pêcheur) et Laure Zanchi (Candela)
Curieusement, la deuxième partie proposa en quelque sorte la démarche inverse. Il est vrai que « L’amour sorcier », dont l’action se déroule également en Andalousie, se veut à l’origine une « gitanerie musicale », revue plusieurs fois par Manuel de Falla : au départ pantomime pour orchestre de chambre, elle devient une pièce pour orchestre symphonique avant de prendre la forme définitive du ballet où les parties anciennement chantées sont remplacées par des instruments. La trame est a priori aussi simple que celle du « Tricorne » :
une femme nommée Candela, hantée par son ancien amant au point de voir son amour actuel pour son fiancé entravé, utilise un sortilège qui va détourner le spectre vers une autre gitane. Il appert que l’œuvre recèle d’autres dimensions, une atmosphère onirique, une épaisseur de mystère - accentuée par le beau et sombre registre vocal de la mezzo-soprano Patricia Fernandez - et que les deux chorégraphes Jean-Gérald Dorseuil et Nathanël Marie ont largement exploitées pour proposer au public niçois une version essentiellement orientée vers la créativité et l’expressivité corporelle. Avec parfois, pour seul décor, des jeux d’ombre et de lumière dont un théâtre de silhouettes mouvantes sur fond d’une nuit bleutée particulièrement réussi ou l’exploitation ingénieuse de multiples projecteurs sur la scène elle-même. Une interprétation qui sous le sceau de la modernité, entend restituer la violence de l’histoire, les souffrances des corps contrariés dans leurs désirs. On mentionnera la superbe interprétation de Laure Zanchi dans le rôle de Candela et celle de la « danse du feu follet » par Hervé Ilari.
Body move dance workshop
Hungary- Budapest 2013
SCHEDULE
April 12 Friday
Ballet Drum 13:00-14:30
Contemporary 14:45-16:15
Choreography Atelier 16:30-18:00
April 13 Saturday
Ballet Drum 10:00-11:30
Contemporary 11:45-13:15
Choreography Atelier 13:30-15:00
April 14 Sunday
Ballet Drum 12:00-13:30
Contemporary 13:45-15:15
Choreography Atelier 15:30-17:00
Time: 12-13-14 April 2013
Location: ZéróPlusz Dance StudioJurányi u.1 ,1027 Budapest, Hungary
Transformation in Dance
’’In the text of Wajdi Mouawad, it’s a question of a comparison between the beetle and the artist. Somewhere else, in a well known text Kafka tells a story of a man who is transformed into a beetle. Trough this imagination of the metamorphosis, I wish to lead the dancers in a research process of transformation , perception, adaptation , deformation , of contradiction for bring them to an awareness on the link between movement and mutation.”
( Jean-Gerald Dorseuil )
Single class 7 Euro
Day ticket 19 Euro
1 course 3 day 18 Euro
2 course 3 day 37 Euro
3 course 3 day 55 Euro
For more information and application please contact by email: dorseuildancecompany@gmail.com
Application deadline: 10-04-2013